Plus de 100h sur Cyberpunk 2077


dessin homme obèse au stylo bic de profil artbook cyberpunk 2077

Je persévère dans une œuvre numérique

Déjà plus de 100 heures de jeu à Cyberpunk 2077. Je me suis arrêté à la mission après laquelle on ne peut plus retourner en arrière. Après réflexion, je n’ai pas accepté cette partie du dialogue pour continuer à parcourir Night City, la ville de tous les vices.

Le problème de Cyberpunk 2077

Me voilà donc poursuivre des des missions sans grand intérêt ou il est question d’assassiner quelqu’un, récupérer des données informatiques ou extraire un objet ou une personne vivante ou non.

Ma manière de jouer devient subtile. Ainsi, j’essaye de pénétrer derrière les lignes ennemies sans lancer les alarmes et repartir ni vu ni connu. Et si je suis découvert, je préfère me faire tuer sans me défendre et recommencer au dernier check point. Ma technique consiste donc à assommer les ennemis et les cacher par la suite dans un équivalent de boîte qui jalonne le parcours.

Est-ce que je me prête au RPG ? Est-ce que je rentre dans la peau de mon personnage. Je crois bien. Dommage que le jeu ne semble pas fini, que la qualité des histoires scriptées du début perdent rapidement en épaisseur. Je dois m’inventer une vie mai je me sens donc de plus en plus seul au fur et à mesure que mes compagnons de route deviennent de simples PNJ. Je suis tombé amoureux, je me suis pris des râteaux, j’ai ressenti de la tristesse pour certains évènements de vie de mes rencontres. Bref j’étais en pleine immersion.

Ce qui me fait quitter le plus fréquemment l’immersion est le comportement des PNJ, plus particulièrement de ceux qui se déplacent dans la rue. Ils ont souvent le même âge et la même corpulence : soit des obèse soit des athlètes. Il n’y a pas d’anorexiques. Le pire sont les enfants. Premièrement, ils ont tous 9 ans et il ont tous la même ossature et la même corpulence. De plus les proportions du corps sonnent faux. Je pense que la tête est trop petite par rapport au reste du corps.

La solution

Finalement, pas d’autre choix que faire fonctionner mon imagination. J’imagine par exemple que les personnes âgées ont disparu de la circulation en apparence seulement. La chirurgie esthétique, les implants, donnent une jeunesse éternelle de l’extérieur.


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